Thriller
XO Editions - sept 2016 - 496p - Pocket - Janv 2018
Roman phénoménal. Il y a des livres qui vous tombent dessus et ils changent votre vie. Le cri en fera indéniablement parti, immense coup de cœur ♥♥♥♥♥ .
Ce roman s’était presque retrouvé par hasard dans ma PAL, je n'en attendais rien et il m'a tout offert. Sa lecture m'a fait vivre une expérience hors du commun.
Il est développé comme un film d'action, un très bon film d'action d'ailleurs, mais l'auteur ne s'est pas contenté de rester dans cette zone de confort, cela aurait été trop facile et je ne serais pas entrain de vous écrire que ce roman m'a littéralement transcendée. Il a su ajouter de la psychologie, des personnages aux personnalités profondes, un compte à rebours implacable, une énigme pluridimensionnelle et des réponses scientifiques et mystiques incroyables.
Oui rien que ça !
Oui rien que ça !
Un roman qui vous fera passer par tous les niveaux de tension et d'émotions. Dès les premières pages, il m'a happé, l'écriture est sans faute, sans fioriture encombrante. L'histoire se construit au fil des pages dans un timing implacable jusqu'à la révélation finale.
Sur les fondements du projet paralégal de la CIA, MK-Ultra et de faits scientifiques dont on sent une recherche poussée et très documentée, Nicolas Beuglet a élaboré un thriller brillant.
Sarah Geringen, inspectrice à Oslo est appelée pour enquêter dans une hôpital psychiatrique. Le patient mort n'était connu que sous le nom de 488 - dont il porte la scarification sur le front - et sa particularité à pousser un cri indicible. L'autopsie révélera une mort impensable.
L’énigme prend corps sous vos yeux ébahis. L'enquête mènera Sarah à faire équipe avec Christopher Clarence, journaliste d’investigation, très loin d'être surentraîné comme elle, mais dont les motivations le pousseront à dépasser ses limites. De révélations en révélations, un véritable tsunami va se déclencher. Aucun temps mort dans cette lecture, l'auteur ne ménage pas son lecteur le faisant vivre au même rythme que ses héros. Il l’entraîne à une vitesse vertigineuse vers des questionnements redoutables sur l'existence, l’expérimentation humaine, en s'appuyant sur des faits et des études scientifiques. L'angoisse monte au fur et à mesure que nous découvrons la vérité.
Entre fiction et réalité en passant par un coté mystique, l'auteur rend l'histoire d'une impensable crédibilité, réveillant en nous notre peur universelle à tous.
Je ne vous en dirais pas plus dévorez ce roman, ne passez surtout pas à coté.
Pour ma part, je vais faire remonter "Complots" dans ma PAL, retrouver Sarah et Christopher des personnages humains à l'étoffe de héros que je ne suis pas prête d'oublier.
Malgré ce blog dit littéraire, je suis une scientifique mon attachement va aux preuves rationnelles, il est donc rare que j'accorde autant de bons points à une version romancée de faits, mais Nicolas Beuglet a su m'interroger à travers ce roman, nourrir ma soif de connaissances scientifiques et apporter des réponses de l'ordre du plausible particulièrement pertinentes.
Sur les fondements du projet paralégal de la CIA, MK-Ultra et de faits scientifiques dont on sent une recherche poussée et très documentée, Nicolas Beuglet a élaboré un thriller brillant.
Sarah Geringen, inspectrice à Oslo est appelée pour enquêter dans une hôpital psychiatrique. Le patient mort n'était connu que sous le nom de 488 - dont il porte la scarification sur le front - et sa particularité à pousser un cri indicible. L'autopsie révélera une mort impensable.
L’énigme prend corps sous vos yeux ébahis. L'enquête mènera Sarah à faire équipe avec Christopher Clarence, journaliste d’investigation, très loin d'être surentraîné comme elle, mais dont les motivations le pousseront à dépasser ses limites. De révélations en révélations, un véritable tsunami va se déclencher. Aucun temps mort dans cette lecture, l'auteur ne ménage pas son lecteur le faisant vivre au même rythme que ses héros. Il l’entraîne à une vitesse vertigineuse vers des questionnements redoutables sur l'existence, l’expérimentation humaine, en s'appuyant sur des faits et des études scientifiques. L'angoisse monte au fur et à mesure que nous découvrons la vérité.
Entre fiction et réalité en passant par un coté mystique, l'auteur rend l'histoire d'une impensable crédibilité, réveillant en nous notre peur universelle à tous.
"La vie nous tuerait tous si nous n'avions pas l'oubli"
Je ne vous en dirais pas plus dévorez ce roman, ne passez surtout pas à coté.
Pour ma part, je vais faire remonter "Complots" dans ma PAL, retrouver Sarah et Christopher des personnages humains à l'étoffe de héros que je ne suis pas prête d'oublier.
Malgré ce blog dit littéraire, je suis une scientifique mon attachement va aux preuves rationnelles, il est donc rare que j'accorde autant de bons points à une version romancée de faits, mais Nicolas Beuglet a su m'interroger à travers ce roman, nourrir ma soif de connaissances scientifiques et apporter des réponses de l'ordre du plausible particulièrement pertinentes.
Présentation de l'éditeur : Hôpital psychiatrique de Gaustad, Oslo. À l’aube d’une nuit glaciale, le corps d’un patient est retrouvé étranglé dans sa cellule, la bouche ouverte dans un hurlement muet. Dépêchée sur place, la troublante inspectrice Sarah Geringën le sent aussitôt : cette affaire ne ressemble à aucune autre…
Et les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur le front ? Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule ? Pourquoi le personnel de l’hôpital semble si peu à l’aise avec l’identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans ?
Pour Sarah, c’est le début d’une enquête terrifiante qui la mène de Londres à l’île de l’Ascension, des mines du Minnesota aux hauteurs du vieux Nice.
Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va lier son destin à celui d’un journaliste d’investigation français, Christopher, et découvrir, en exhumant des dossiers de la CIA, une vérité vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie après la mort…
Et la réponse, enfouie dans des laboratoires ultrasecrets, pourrait bien affoler plus encore que la question !
Inspiré par des découvertes et des événements réels, Le Cri renvoie à nos peurs les plus intérieures. Un thriller sur la folie des hommes et le danger d’une science dévoyée, transformée en arme fatale.
Il vit à Boulogne-Billancourt avec sa famille.
Merci pour cette critique, je vais le lire
RépondreSupprimerIl me plait beaucoup !
RépondreSupprimerEh bien, après un aussi bel avis, il est effectivement très difficile de passer à côté !
RépondreSupprimerMerci Vampilou en effet je suis restée scootchée je n'avais lu aucun avis une pioche au hasard et le hasard m'a gaté
RépondreSupprimerMerci Laure pour cette chronique convaincante, d’après ce que tu en dis, ce livre ferait aussi un beau film !
RépondreSupprimerS’il te plaît n’utilise pas l’adresse Karikio... mais celle-ci : am.bougret@orange.fr
RépondreSupprimerMerci !
Hello, alors ce n'est pas moi qui gère c'est le site, t'es tu inscrite avec la newsletter ? si oui annuler l'abonnement et mettre l'autre adresse sinon je vais voir avec le listing mail si je peux moi même modifier
SupprimerCe livre, comme tu le fais bien comprendre, est à lire absolument, un vrai bijou !
RépondreSupprimerOk, merci Laure Marie !
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